- ANDERBERG A., MANNS, U., KÄLLERSJPÖ, M. (2007)
Phylogeny and floral evolution of the Lysimachieae (Ericales, Myrsinaceae): evidence from ndhF sequence data. Willdenowia - Annals of the Botanic Garden and Botanical Museum Berlin-Dahlem, Volume 37, Number 2
http://www.bioone.org/doi/pdf/10.3372/wi.37.37202 (open access)
- MANNS, U., ANDERBERG A., (2009)
New combinations and names in Lysimachia (Myrsinaceae) for species of Anagallis, Pelletiera and Trientalis. Willdenowia - Annals of the Botanic Garden and Botanical Museum Berlin-Dahlem, Volume 39, Number 1
http://www.bioone.org/doi/pdf/10.3372/wi.39.39103 (open access)
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Commentaire de Christophe Giraud sur le forum determination_plante@, le 23/10/2012 :
"Par ailleurs, il est toujours bon d'essayer d'avoir une vision "mondiale" des genres et des familles ; ainsi, les lysimaques étaient déjà un genre tout à fait hétéroclite, avec des espèces très différentes morphologiquement (comparer Lysimachia ephemerum, Lysimachia thyrsiflora, Lysimachia nemorum et Lysimachia minoricensis par exemple, sans parler des espèces chinoises). Il n'est donc pas étonnant qu'en phylogénie, les espèces de ce genre sont apparues proches d'espèces d'autres genres, Anagallis, Trientalis, Glaux.... Il y avait donc deux choix : soit pulvériser les lysimaques en d'innombrables genres, soit tout regrouper au sein d'un seul genre, y compris les petits genres Anagallis, Trientalis, Glaux etc... Ces deux options étaient équivalentes d'un point de vue taxonomique, mais le nombre de combinaisons nouvelles à créer était moins important selon la seconde option (tout regrouper). Voilà pourquoi ce choix a été fait."
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