Concours photo : « Anthropomorphes »
Pour la seconde année, le Conservatoire National des Plantes à Parfum, Médicinales et Aromatiques propose un concours photo. En 2017, il met à l’honneur les représentations « anthropomorphes » dans le monde végétal.
Plantes ou parties de plantes évocatrices du corps humain, points de vue atypiques…, c’est l’occasion de laisser libre cours à votre imagination pour nous plonger dans un univers onirique, fabuleux ou inquiétant. , venez réaliser vos plus beaux clichés au Conservatoire National des Plantes de Milly-la-Forêt !
Pour nous les envoyer, trois possibilités :
– Par mail : envoyez vos photos et le formulaire d’inscription à concours@cnpmai.net;
– Par voie postale : envoyez vos photos au format numérique (sur clé USB ou carte SD) et le formulaire d’inscription à l’adresse suivante : CNPMAI, Route de Nemours, 91490 Milly-la-Forêt ;
– À l’accueil du Conservatoire, en déposant votre formulaire et votre participation au format numérique.
Les photographies devront être prises dans les jardins du Conservatoire (maximum de 3 photographies par participant). La remise des prix aura lieu le vendredi 22 septembre 2017 à 17h15, au Conservatoire.
À vos appareils photo !
Pour savoir quand venir, nos horaires d’ouverture sont disponibles ici.
Pour tous renseignements supplémentaires, consultez le règlement du concours ou écrivez-nous à concours@cnpmai.net
Les documents :
–Règlement concours photo 2017
–Formulaire d’inscription concours photo 2017
3 commentaires
C’est assez nul comme concours !
Cela va être très restreint et ultra local , vu qu’il faut se rendre à Milly-la-Forêt pour participer .
Cela ne mérite pas une telle Pub dans Tela-Botanica .
Amitiés .
Ruddy Bénézet
Très limitatif en effet !! Dommage le sujet est pourtant passionnant et ludique
Vite, vite , je pars à Milly la forêt !…
J’ai quitté la région parisienne et sa pollution il y a vingt ans, ce n’est pas pour y revenir photographier trois plantes.
Une seule chose me manque : la forêt de Fontainebleau, ses rochers, ses bouleaux, ses nerpruns.
Thierry Delalande