Vu sur la toile #170
« Mes parents aimaient l’été randonner en montagne et herboriser, en particulier dans les Alpes, notamment en Oisans, Queyras et Vallouise, en compagnie de ma sœur et de moi-même lorsque nous étions enfants.
Avant de retourner plusieurs décennies plus tard dans ces hautes régions pour les faire découvrir à nos jumeaux qui vont sur leurs 16 ans, j’ai retrouvé dans ma bibliothèque « Fleurs des Alpes »1, et emporté ce livre acheté en 1973 à Briançon. On y lit en pages 96 et 98 : « Sous le nom de genépi ou de genipi, on groupe quatre variétés d’armoises qui croissent dans la haute montagne en quantité assez réduite et dont la cueillette est réservée aux seuls alpinistes, qui la découvrent avec assez de peine, dans les anfractuosités des rochers escarpés et près des moraines glacières. Le genépi jouit d’une vogue très méritée, car à sa recherche difficile, il faut ajouter des vertus sans rivale ».
Ce court texte de vulgarisation pose deux questions sur ces espèces herbacées vivaces, identitaires de nos hautes montagnes au même titre que l’édelweiss (Leontopodium alpinum) : la dénomination et l’étymologie de ces espèces d’une part et le nombre d’espèces concernées. »
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1 commentaire
Bof, bof, l’article sur le figuier. Contrairement à ce qui y est écrit, les figues ne sont pas des fleurs inversées. Une figue non mûre est une inflorescence. En simplifiant un peu, sa paroi intérieure est tapissée de nombreuses fleurs femelles, minuscules. A maturité, au moins pour les figues comestibles de fin d’été, chacune de ces fleurs a donné un mini-fruit. La paroi de la figue est devenue charnue et sucrée. Une telle figue mûre est donc une infrutescence.
Quant à l’énergie de l’arbre qui se mélangerait à la notre si l’on s’assied au pied d’un figuier, nous permettant de repartir « »boosté » et déchargé du poids des maux »… Mieux vaut manger les figues, c’est plus sûr ! 🙂