Les fleurs au coeur de l’actu pour la Saint-Valentin

« Le règne végétal est constitué d’environ 350 000 espèces de plantes à fleurs, chacune possédant des caractéristiques distinctes afin d’assurer sa survie. Elles adaptent certaines caractéristiques en fonction de leur environnement et de leurs besoins spécifiques pour ce faire. Parmi ces caractéristiques, l’odeur est celle qui nous est la plus accessible. »

Début de l’article sur The conversation

« Elles se sont lancées en 2017 avec pour mission de reconstruire la filière floricole française. Un gros défi quand on sait que 85 % des fleurs coupées sont importées en France. Les fondatrices de Fleurs d’ici, Hortense Harang et Chloé Rossignol portent les couleurs d’une fleur éthique et locale. »

Début du podcast sur France culture

« Se dire « je t’aime » à l’ombre des immenses branches de l’arbre français de l’année. C’est possible, pendant deux jours, dans le jardin botanique de Bayeux, dans le Calvados. Pour la Saint-Valentin, le hêtre pleureur s’est paré de cœurs lumineux. Une belle occasion pour les amoureux d’immortaliser leur bonheur dans un décor insolite. »

Début de l’article sur France info

« En France, 85 % des fleurs de nos étals viennent de l’autre bout de la planète et 60 % de nos roses proviennent du Kenya, d’où elles sont importées en avion-cargo réfrigéré. Sacré bilan carbone ! À la vue de ces chiffres ahurissants, Reporterre a demandé à Audrey Venant de Désirée Fleurs, fleuriste écoresponsable à Paris, de nous présenter les fleurs de saison à mettre dans les bouquets pour le 14 février. »

Extrait de la vidéo sur Reporterre

« Pour la Saint-Valentin, les roses ne seront pas présentes dans l’atelier d’Isabelle Rannou, qui a décidé de privilégier des compositions à base de fleurs fraîches et séchées, locales et de saison. »

Début de l’article sur Ouest France

« Acheter un bouquet local et comestible : voici le concept de Fleurivore. Un fleuriste unique en France, dans un univers où les fleurs sont souvent cultivées à l’autre bout de la planète et aspergées de produits toxiques. »

Début de l’article sur Reporterre