Erica n°37
Un édito faisant le point sur les réflexions engagées pour la réalisation d’une revue « nouvelle formule », ainsi que les bilans des découvertes de l’année 2022 concernant la flore vasculaire, les bryophytes, les lichens et les champignons lichénicoles du Massif armoricain.
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En chiffres
- 53 pages
- 4 articles
- 20 auteurs
La revue Erica
Elle a vu le jour en 1992 avec la mise en place d’un vaste réseau d’observateurs pour inventorier et cartographier la flore dans l’Ouest de la France. Cette revue à caractère scientifique et technique s’adresse principalement aux praticiens de la botanique et de la phytosociologie dans les régions Bretagne, Normandie (Basse-Normandie) et Pays de la Loire. Sa publication est annuelle.
Conservatoire botanique national de Brest.
La revue E.R.I.C.A. a vu le jour en 1992 avec la mise en place d’un vaste réseau des correspondant.e.s bénévoles pour recenser et cartographier les plantes sauvages dans l'Ouest de la France. Cette revue à caractère scientifique et technique sur la flore et la végétation s’adresse principalement aux praticiens de la botanique et de la phytosociologie dans les régions Bretagne, (Basse) Normandie et Pays de la Loire. Sa publication est annuelle ; elle paraît chaque année au printemps.
Titre de l'ouvrage : Erica n°37
Auteurs : Conservatoire botanique national de Brest
Impression : juillet 2023
Nombre de pages : 58
Il a été remis par courrier aux 600 abonnés, partenaires et membres actifs du réseau des correspondants bénévoles en septembre. Il est possible de vous le procurer ou de vous abonner à la revue des botanistes du Massif armoricain et de ses marges en vous renseignant sur le site web du Conservatoire botanique.
Abonnement :
- pour un an = un numéro : 9,15 €
- pour quatre ans = quatre numéro : 31 €
- la collection : 7,70 € le numéro
http://www.cbnbrest.fr/espace-documentaire/erica/presentation-de-la-revue
2 commentaires
Je suis ponctuellement observateur en région Pays de la Loire, j’ai envoyé plusieurs années de suite des données. Je n’avais pas accès à leur publication dans ERICA, puisque les trois dernières années ne sont pas accessibles en ligne.
C’est un problème de démocratie, puisqu’il y a déjà 600 correspondants.
Est-il hasardeux de les comparer aux grands électeurs du suffrage sensitaire, choisis en fonction de leur poids en terme de données produites ?
J’ai déjà lu sur le site d’un autre CBN un classement des botanistes en fonction du nombre de données produites.
Les botanistes qui transmettent beaucoup de données peuvent ainsi accéder aux données des « petits » mais les « petits » ne peuvent pas accéder à celles des autres.
Depuis 2021 (j’ai transmis mes premières données en 1995), je ne transmet plus mes données aux CBN.
Ce n’est pas propre à la botanique.
Une responsable d’archives a démarché localement plusieurs services et chercheurs amateurs pour qu’ils contribuent en envoyant des références ou documents à un correspondant en région parisienne.
Ni les services qui se sont mobilisés ni les amateurs qui ont accepté de partager leurs trouvailles n’ont reçu en retour la publication.
La responsable d ‘archives qui a fait l’intermédiaire a sollicité à ma demande l’auteur qui a répondu que la publication était déjà épuisée.
J’ai dû me contenter de cette réponse.
En étant un peu plus curieux, j’apprends sur internet que l’auteur de la publication est en fait un spécialiste de la mise en ligne d’archives numérisées.
On croit rêver.