Le Journal de Botanique disponible en ligne
Le Journal de Botanique, édité par la Société Botanique de France, est maintenant disponible en ligne sur Persée pour la période 1997 à 2020. Au total : 87 numéros et 888 documents consultables librement !
« Cette revue, proche du terrain et de langue française, s’adresse à tous les botanistes, depuis l’amateur jusqu’au scientifique professionnel. Elle traite, dans un large esprit, le champ des disciplines à la fois fondamentales et classiques de la botanique : la floristique, la chorologie, la systématique et la taxonomie, la physiologie végétale, la phytosociologie, la phytogéographie, l’écologie, la paléobotanique, l’ethnobotanique avec toutes les disciplines et sciences annexes qui y participent, et la botanique appliquée dans tous les domaines (pastoralisme, malherbologie, foresterie, environnement, bioindication végétale, etc.). La botanique française y tient une place prépondérante, mais le champ géographique d’intérêt n’est pas limité à la France et à l’Europe, tant que ce contenu peut intéresser des lecteurs francophones. »
Présentation du Journal de Botanique sur le site de la Société Botanique de France.
3 commentaires
C’est génial, merci à la Société Botanique de France pour ce cadeau à l’occasion de l’arrivée du printemps.
L’on ouvre le premier numéro et on s’aperçoit que les idées fondamentales d’aujourd’hui sur l’écologie étaient déjà présente en 1997. Comment ne se sont-elles pas répandu dans l’agronomie française plus tôt ?! — je laisse à chacun tisser la toile de sa compréhension du problème .
J’ai hâte de savourer ce voyage dans les 90′, COMETT, c’est fascinant. . .
Bien à vous,
Pour répondre à Églantine, qui dit, je cite « les idées fondamentales (…) sur l’écologie étaient déjà présente en 1997 »
Eh bien oui ! Je pratique l’ornithologie depuis le début des années ’90 et non seulement ces idées étaient déjà présent, mais elles étaient bien moins brouillées qu’aujourd’hui !
J’ai vu arriver, au courant des années 2000/2010 beaucoup de mouvements qui se disent relever de l’écologie mais qui sont, en fait, bien loin de la démarche naturaliste.
Ça va du complotisme de base (les fameux « chem trail ») au mouvement limite extrémistes (non, le Végan n’est pas écologique ! Imagine l’appauvrissement du végétal si on supprimait toute exploitation animale aujourd’hui). Tous ces mouvements qui ont pignon sur rue ne sont pas issus d’une démarche naturaliste ou scientifique !
Je t’invite à lire les Souvenirs Entomologiques de Jean-Henri Fabre…entre autres !
Je précise juste que par « exploitation animale », je parle de pâturage extensif. Bien entendu, je ne cautionne pas l’exploitation industrielle actuelle…