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Leucaena leucocephala (Lam.) de Wit par Ans Gorter, licence CC BY-SA
Description de Coste : Cynanchum acutum
2472 Cynanchum acutum Scamonée de Montpellier |
Synonymes C. MONSPELIACUM L. |
- . Plante vivace, glauque et un peu pubescente, à souche traçante, à tiges et rameaux grêles, allongés, volubiles et grimpants - feuilles molles, pétiolées, ovales-acuminées, élargies et profondément échancrées en cœur à la base - fleurs blanches, odorantes, en petites ombelles pédonculées, axillaires et terminales - calice à lobes ovales-aigus, 3-4 fois plus courts que la corolle - corolle petite (6-7 mm de diam.), à lobes étalés, oblongs, glabres - couronne des étamines tubuleuse, émettant 5 lobes linéaires - follicules divariqués, oblongs, acuminés, lisses.
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Écologie Lieux pierreux ou sablonneux du littoral de la Méditerranée et de l'Océan : Provence, Languedoc, Roussillon ; Charente-Inférieure et Vendée. |
Répartition Europe méditerranéenne ; Asie occidentale et boréale ; Afrique septentrionale. |
Floraison Juin-septembre. . |
Usages Purgatif énergique. |
Description Baseflor :
Type Biologique : Géophytes (>= 1m) à rhizome () | |
Formation végétale : hémicryptophytaie | |
Chorologie :  méditerranéen | |
Inflorescence : ombelle simple Fruit :follicule Couleur de la fleur : blanc Floraison : de juin à septembre |
sexualité : hermaphrodite Pollinisation : entomogame Dissémination : barochore |
Description collaborative :
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Cynanchum acutum L. :
étymologie du genre : Kyôn = Chien ; ankheïn = étrangler.
Synonymie :
- Cynanchum monspeliacum L.
- Cynanchum acutum var. monspeliacum (L.) Gren. & Godr.
Famille : Apocynaceae
- Général : Plante herbacée, vivace, hémicryptophyte, grimpante et/ou rampante, pouvant mesurer entre 0.5 et 6 m. Elle présente des tiges pubescentes, volubiles.
- Les feuilles (22-78 x 12-65 mm) sont simples, entières, pétiolées (9 à 26 mm), pubescentes, triangulaires à cordiformes, avec des lobes basaux de 5 à 28 mm. De couleur vert-bleuté, les feuilles sont opposées.
- L'inflorescence est en cyme axillaire composée de 15 à 30 fleurs sur un pédoncule pubescent de 12 à 21 mm.
- Les bractées (1,3-2,2 x 0,2-0,4 mm), bien qu'existantes sont rapidement caduques.
- Les fleurs se trouvent sur des pédicelles de 4 à 8,4 mm.
- Le calice est composé de 5 sépales (1,2-2,6 x 0,4-1,5 mm) triangulaires lancéolés, et recouverts de quelques poils épars.
- La corolle est composée de 5 pétales soudés blancs à rosés (4,9-7,2 x 1,8-2,9 mm) triangulaires lancéolés, glabres (ou quelques poils épars sur la face supérieure).
- Dans cette famille, la couronne staminale adopte une structure originale et particulièrement complexe. D'un point de vue simplifié elle est composée de 10 filets staminaux (4,9 à 6,8 mm) dont les 5 internes portent des anthères (2,7 à 4 mm) soudées entre elles et qui cachent le gynécée.
Pour être exact, la couronne staminale, composée de deux fois 5 filets staminaux (4,9 à 6,8 mm) soudés, entoure 5 translateurs (2,7 à 4 mm), composés chacun de deux pollinies, rattachées à un corpuscule via un bras, ces translateurs cachant eux-mêmes le gynécée constitué de 2 carpelles.
- Le fruit (follicule - 77-181 x 7-9mm) est fusiforme, pendant, lisse, brunissant à maturité.
Il est à noter que cette plante fructifie rarement en France.
- Les graines (5,6-7,1 x 2,4-4 mm) sont brunes, en forme de poire, aplaties, ailées, et surmontées d'un pappus blanc de 30 à 32 mm.
Chromosome : 2n=18
- Répartition mondiale : La sous-espèce Cynanchum acutum subsp. acutum L. se retrouve dans les régions à climats méditerranéens du Portugal à l'est de l'Irak où il existe une petite zone de chevauchement avec la sous-espèce Cynanchum acutum subsp. sibiricum (Willd.) Rech.f. qui est répartie dans le sud-ouest de l'Asie et en Asie centrale, à l'ouest de la Sibérie.
- En France, elle se trouve principalement sur le pourtour méditerranéen, ainsi qu'en quelques localités de la côte atlantique.
- Habitat (France) : Se trouve sur substrat sableux, hydromorphe. Roselières, berges de canaux en milieux saumâtres, arrière-dunes.
- Floraison : juin à septembre.
- Protection : Espèce protégée en région PACA
- Plante vivace, de 1 à 6 m, glauque et un peu pubescente.
- Tiges et rameaux grêles, allongés, volubiles et grimpants (ou rampants), émergeant au printemps et formant de larges draperies au cours de l'été.
- Feuilles molles, pétiolées, opposées, acuminées et en forme de coeur à la base.
- Fleurs petites, blanches ou rosées, odorantes, en cymes axillaires.
- Calice à 5 lobes ovales-aigus, 3-4 fois plus courts que la corolle.
- Corolle petite, à 5 lobes étalés, oblongs, glabres.
- Couronne des étamines tubuleuses, émettant 2x5 lobes linéaires.
- Fruit : follicules fusiformes, lisses, acuminés. Plante fructifiant rarement en France.
- en France, elle se trouve principalement sur le pourtour méditerranéen, ainsi qu'en quelques localités de la côte atlantique.
- Habitat (France) : Se trouve sur substrat sableux, hydromorphe. Roselières, berges de canaux en milieux saumâtres, arrière-dunes.
- Floraison : juin à septembre.
- Protection : Espèce protégée en région PACA
Cette plante se reconnaît à ses longues tiges à vrille grimpante et à son feuillage vert bleuté. Ses feuilles en forme de cœur sont disposées par paires, l'une en face de l'autre. Ses fleurs odorantes, en petites étoiles blanc-rosé apparaissent en groupes de 15-30 à l'aisselle des feuilles pendant l'été. Cette plante toxique, possède une sève laiteuse. Vous la trouverez les pieds dans le sable, proche de l'eau où elle saura trouver d'autres plantes ou matériaux divers pour grimper et s'épanouir sous le soleil du littoral.
Listez les caractères spécifiques permettant de déterminer ce taxon
La Scamonée et l'Homme :
La Scamonée aigüe entretient une relation complexe avec l'Homme. En effet, cette plante toxique possède diverses propriétés physico-chimiques pouvant être utiles. Mais par ailleurs il lui arrive, dans certaines régions du monde, de réduire les productions agricoles. En voici quelques exemples :
La croissance vigoureuse de la Scamonée lui permet de grimper sur des plantes hôtes. En captant la lumière au dessus de cette dernière, elle réduit sa photosynthèse et donc sa croissance. Dans d'autres pays (notamment en Asie), la Scamonée s'installe parfois dans des vergers (pommier, pêcher, ...) ou des cultures céréalières (blé, maïs, ...) et peut causer d'importants dommages aux cultures.
(source : The IUCN red list of threatened species : Cynanchum acutum [en ligne]. UICN, 2015 [consulté le 16/07/2015]. Disponible sur http://www.iucnredlist.org/details/19181578/0)//
(source : publication scientifique :
Cohen, S., Kern, J., Harpaz, I., & Ben-Joseph, R. (1988). Epidemiological studies of the tomato yellow leaf curl virus (TYLCV) in the Jordan Valley, Israel. Phytoparasitica, 16(3), 259-270.)
Bien que la Scamonée soit toxique, de nombreux composants chimiques, appelés flavonoïdes (composés chimiques très courants chez les plantes à l'origine des couleurs des fleurs et des fruits - plus de 6000 à avoir été décrits chez les plantes,) présentent des propriétés antioxydantes et antidiabétiques très intéressantes.
(source : publication scientifique :
Sayed, S. A., El Sayed, A. S., & Zayed, A. M. (2004). Oil spill pollution treatment by sorption on natural Cynanchum acutum L. plant. Journal of Applied Sciences and Environmental Management, 7(2), 63-73.)
- BOULOS, Loutfy. Flora of egypt, Vol. 2 . Le Caire, Al Hadara Publishing, 2000.
- CASTROVIEJO, Santiago ; TALAVERA, S. ; ANDRÈS, C. ; ARISTA, M. ; FERNANDEZ PIEDRA, P. ; GALLEGO, M. J. ; ORTIZ, P. L. ; ROMERO ZARCO, C. ; SALGUEIRO, F. J. ; SILVESTRE, S. ; QUINTANAR, A. FLORA IBERICA - Plantas vasculares de la Peninsula Iberica e Islas Baleares - Gentianaceae-Boraginaceae - Vol. XI. Madrid : Real Jardin Botanico - C.S.I.C. Edit, 2012. 672p. ISBN 978-84-00-09415-7
-Cohen, S., Kern, J., Harpaz, I., & Ben-Joseph, R. (1988). Epidemiological studies of the tomato yellow leaf curl virus (TYLCV) in the Jordan Valley, Israel. Phytoparasitica, 16(3), 259-270.)
- COSTE, Hyppolite. FLORE DESCRIPTIVE ET ILLUSTREE DE LA FRANCE, DE LA CORSE ET DES CONTREES LIMITROPHES. Avec une Introduction sur la flore et la végétation de la France par Ch. Flahaut. Tomes 2. Paris, Librairie Scientifique et Technique ALBERT BLANCHARD, 1998. 627p. ISBN 2-85367-058-9
- Fawzy, G. A., Abdallah, H. M., Marzouk, M. S., Soliman, F. M., & Sleem, A. A. (2008). Antidiabetic and antioxidant activities of major flavonoids of Cynanchum acutum L.(Asclepiadaceae) growing in Egypt. Zeitschrift für Naturforschung C, 63(9-10), 658-662.
- FOURNIER, Paul. Les quatre flores de France. 2Ème Edition. Paris : Dunod, 2001. 1160p. ISBN 2-10-005463-5
- Sayed, S. A., El Sayed, A. S., & Zayed, A. M. (2004). Oil spill pollution treatment by sorption on natural Cynanchum acutum L. plant. Journal of Applied Sciences and Environmental Management, 7(2), 63-73.)
- TISON, Jean-Marc ; DE FOUCAULT, Bruno. Flora Gallica - Flore de France. Mèze : Biotope Editions, 2014.1195p. ISBN 978-2-36662-012-2
- TISON, Jean-Marc ; JAUZEIN, Philippe ; MICHAUD, Henri. Flore de la France méditerranéenne continentale. Turriers : naturalia PUBLICATIONS, 2014. 2078p. ISBN 978-2-909717-90-6
- ZHENGYI, Wu ; RAVEN, Peter H. Flora of China, Volume 16, Gentianaceae through Boraginaceae. Saint Louis (US) : Missouri Botanical Garden, 1995. 479p. ISBN 978-0915279333
- The IUCN red list of threatened species : Cynanchum acutum [en ligne]. UICN, 2015 [consulté le 16/07/2015]. Disponible sur http://www.iucnredlist.org/details/19181578/0
Générale
Cynanchum acutum L. :
étymologie du genre : Kyôn = Chien ; ankheïn = étrangler.
Synonymie :
- Cynanchum monspeliacum L.
- Cynanchum acutum var. monspeliacum (L.) Gren. & Godr.
Famille : Apocynaceae
Description complète
- Général : Plante herbacée, vivace, hémicryptophyte, grimpante et/ou rampante, pouvant mesurer entre 0.5 et 6 m. Elle présente des tiges pubescentes, volubiles.
- Les feuilles (22-78 x 12-65 mm) sont simples, entières, pétiolées (9 à 26 mm), pubescentes, triangulaires à cordiformes, avec des lobes basaux de 5 à 28 mm. De couleur vert-bleuté, les feuilles sont opposées.
- L'inflorescence est en cyme axillaire composée de 15 à 30 fleurs sur un pédoncule pubescent de 12 à 21 mm.
- Les bractées (1,3-2,2 x 0,2-0,4 mm), bien qu'existantes sont rapidement caduques.
- Les fleurs se trouvent sur des pédicelles de 4 à 8,4 mm.
- Le calice est composé de 5 sépales (1,2-2,6 x 0,4-1,5 mm) triangulaires lancéolés, et recouverts de quelques poils épars.
- La corolle est composée de 5 pétales soudés blancs à rosés (4,9-7,2 x 1,8-2,9 mm) triangulaires lancéolés, glabres (ou quelques poils épars sur la face supérieure).
- Dans cette famille, la couronne staminale adopte une structure originale et particulièrement complexe. D'un point de vue simplifié elle est composée de 10 filets staminaux (4,9 à 6,8 mm) dont les 5 internes portent des anthères (2,7 à 4 mm) soudées entre elles et qui cachent le gynécée.
Pour être exact, la couronne staminale, composée de deux fois 5 filets staminaux (4,9 à 6,8 mm) soudés, entoure 5 translateurs (2,7 à 4 mm), composés chacun de deux pollinies, rattachées à un corpuscule via un bras, ces translateurs cachant eux-mêmes le gynécée constitué de 2 carpelles.
- Le fruit (follicule - 77-181 x 7-9mm) est fusiforme, pendant, lisse, brunissant à maturité.
Il est à noter que cette plante fructifie rarement en France.
- Les graines (5,6-7,1 x 2,4-4 mm) sont brunes, en forme de poire, aplaties, ailées, et surmontées d'un pappus blanc de 30 à 32 mm.
Chromosome : 2n=18
- Répartition mondiale : La sous-espèce Cynanchum acutum subsp. acutum L. se retrouve dans les régions à climats méditerranéens du Portugal à l'est de l'Irak où il existe une petite zone de chevauchement avec la sous-espèce Cynanchum acutum subsp. sibiricum (Willd.) Rech.f. qui est répartie dans le sud-ouest de l'Asie et en Asie centrale, à l'ouest de la Sibérie.
- En France, elle se trouve principalement sur le pourtour méditerranéen, ainsi qu'en quelques localités de la côte atlantique.
- Habitat (France) : Se trouve sur substrat sableux, hydromorphe. Roselières, berges de canaux en milieux saumâtres, arrière-dunes.
- Floraison : juin à septembre.
- Protection : Espèce protégée en région PACA
Description simplifiée
- Plante vivace, de 1 à 6 m, glauque et un peu pubescente.
- Tiges et rameaux grêles, allongés, volubiles et grimpants (ou rampants), émergeant au printemps et formant de larges draperies au cours de l'été.
- Feuilles molles, pétiolées, opposées, acuminées et en forme de coeur à la base.
- Fleurs petites, blanches ou rosées, odorantes, en cymes axillaires.
- Calice à 5 lobes ovales-aigus, 3-4 fois plus courts que la corolle.
- Corolle petite, à 5 lobes étalés, oblongs, glabres.
- Couronne des étamines tubuleuses, émettant 2x5 lobes linéaires.
- Fruit : follicules fusiformes, lisses, acuminés. Plante fructifiant rarement en France.
- en France, elle se trouve principalement sur le pourtour méditerranéen, ainsi qu'en quelques localités de la côte atlantique.
- Habitat (France) : Se trouve sur substrat sableux, hydromorphe. Roselières, berges de canaux en milieux saumâtres, arrière-dunes.
- Floraison : juin à septembre.
- Protection : Espèce protégée en région PACA
Description pour débutant
Cette plante se reconnaît à ses longues tiges à vrille grimpante et à son feuillage vert bleuté. Ses feuilles en forme de cœur sont disposées par paires, l'une en face de l'autre. Ses fleurs odorantes, en petites étoiles blanc-rosé apparaissent en groupes de 15-30 à l'aisselle des feuilles pendant l'été. Cette plante toxique, possède une sève laiteuse. Vous la trouverez les pieds dans le sable, proche de l'eau où elle saura trouver d'autres plantes ou matériaux divers pour grimper et s'épanouir sous le soleil du littoral.
Identification
Listez les caractères spécifiques permettant de déterminer ce taxon
Confusions possibles
- Les liserons (Convolvulus L.)
- La Salsepareille (Smilax aspera L.)
- L'herbe aux femmes battues (Dioscorea communis (L.) Caddick & Wilkin)
- La Clématite brûlante (Clematis flammula L.)
- L'Araujia porte-soie (Araujia sericifera Brot.)
Usages
La Scamonée et l'Homme :
La Scamonée aigüe entretient une relation complexe avec l'Homme. En effet, cette plante toxique possède diverses propriétés physico-chimiques pouvant être utiles. Mais par ailleurs il lui arrive, dans certaines régions du monde, de réduire les productions agricoles. En voici quelques exemples :
- La Scamonée dans les cultures
La croissance vigoureuse de la Scamonée lui permet de grimper sur des plantes hôtes. En captant la lumière au dessus de cette dernière, elle réduit sa photosynthèse et donc sa croissance. Dans d'autres pays (notamment en Asie), la Scamonée s'installe parfois dans des vergers (pommier, pêcher, ...) ou des cultures céréalières (blé, maïs, ...) et peut causer d'importants dommages aux cultures.
(source : The IUCN red list of threatened species : Cynanchum acutum [en ligne]. UICN, 2015 [consulté le 16/07/2015]. Disponible sur http://www.iucnredlist.org/details/19181578/0)//
- La Scamonée, l'Aleurode du tabac et le Virus de la tomate.
(source : publication scientifique :
Cohen, S., Kern, J., Harpaz, I., & Ben-Joseph, R. (1988). Epidemiological studies of the tomato yellow leaf curl virus (TYLCV) in the Jordan Valley, Israel. Phytoparasitica, 16(3), 259-270.)
- Des dérivés de la Scamonée antioxydant et antidiabétique
Bien que la Scamonée soit toxique, de nombreux composants chimiques, appelés flavonoïdes (composés chimiques très courants chez les plantes à l'origine des couleurs des fleurs et des fruits - plus de 6000 à avoir été décrits chez les plantes,) présentent des propriétés antioxydantes et antidiabétiques très intéressantes.
- (source : publication scientifique :
- A la cueillette des pappus de la Scamonée.
(source : publication scientifique :
Sayed, S. A., El Sayed, A. S., & Zayed, A. M. (2004). Oil spill pollution treatment by sorption on natural Cynanchum acutum L. plant. Journal of Applied Sciences and Environmental Management, 7(2), 63-73.)
Références
- BOULOS, Loutfy. Flora of egypt, Vol. 2 . Le Caire, Al Hadara Publishing, 2000.
- CASTROVIEJO, Santiago ; TALAVERA, S. ; ANDRÈS, C. ; ARISTA, M. ; FERNANDEZ PIEDRA, P. ; GALLEGO, M. J. ; ORTIZ, P. L. ; ROMERO ZARCO, C. ; SALGUEIRO, F. J. ; SILVESTRE, S. ; QUINTANAR, A. FLORA IBERICA - Plantas vasculares de la Peninsula Iberica e Islas Baleares - Gentianaceae-Boraginaceae - Vol. XI. Madrid : Real Jardin Botanico - C.S.I.C. Edit, 2012. 672p. ISBN 978-84-00-09415-7
-Cohen, S., Kern, J., Harpaz, I., & Ben-Joseph, R. (1988). Epidemiological studies of the tomato yellow leaf curl virus (TYLCV) in the Jordan Valley, Israel. Phytoparasitica, 16(3), 259-270.)
- COSTE, Hyppolite. FLORE DESCRIPTIVE ET ILLUSTREE DE LA FRANCE, DE LA CORSE ET DES CONTREES LIMITROPHES. Avec une Introduction sur la flore et la végétation de la France par Ch. Flahaut. Tomes 2. Paris, Librairie Scientifique et Technique ALBERT BLANCHARD, 1998. 627p. ISBN 2-85367-058-9
- Fawzy, G. A., Abdallah, H. M., Marzouk, M. S., Soliman, F. M., & Sleem, A. A. (2008). Antidiabetic and antioxidant activities of major flavonoids of Cynanchum acutum L.(Asclepiadaceae) growing in Egypt. Zeitschrift für Naturforschung C, 63(9-10), 658-662.
- FOURNIER, Paul. Les quatre flores de France. 2Ème Edition. Paris : Dunod, 2001. 1160p. ISBN 2-10-005463-5
- Sayed, S. A., El Sayed, A. S., & Zayed, A. M. (2004). Oil spill pollution treatment by sorption on natural Cynanchum acutum L. plant. Journal of Applied Sciences and Environmental Management, 7(2), 63-73.)
- TISON, Jean-Marc ; DE FOUCAULT, Bruno. Flora Gallica - Flore de France. Mèze : Biotope Editions, 2014.1195p. ISBN 978-2-36662-012-2
- TISON, Jean-Marc ; JAUZEIN, Philippe ; MICHAUD, Henri. Flore de la France méditerranéenne continentale. Turriers : naturalia PUBLICATIONS, 2014. 2078p. ISBN 978-2-909717-90-6
- ZHENGYI, Wu ; RAVEN, Peter H. Flora of China, Volume 16, Gentianaceae through Boraginaceae. Saint Louis (US) : Missouri Botanical Garden, 1995. 479p. ISBN 978-0915279333
- The IUCN red list of threatened species : Cynanchum acutum [en ligne]. UICN, 2015 [consulté le 16/07/2015]. Disponible sur http://www.iucnredlist.org/details/19181578/0